Le vent secouait les feuilles des grands hêtres de la forêt. Il faisait comme un siflement dans les tympans de Norah. C'était étrangement inquiétant, mais Norah toujours zen et déonctractée, continuait son chemin. Elle était revenue dans sa petite vile natale, au volant de sa voiture. Un sac à la main, puis fatiguée de sa marche, elle se reposa contre une cloture de fer qui grinça au contact de la main de la jeune fille. Des pâquerettes étaient plantées devant elle. Malgrès son grand attachement à la protection de la nature, elle les rassembla et forma un petit bouquet splendide.
Mais, les feuilles, derrière elle, commençèrent à bruisser. Des bruits de pas mélangés à de la terre qui se ferait retourner. Des feuilles qui craquaient sous l'étant donné semelle de la mystérieuse chaussure.
° C'est pas que je suis froussarde mais c'est plutôt inquiétant ° Pensa Norah.
Elle attrapa son sac et écrasa par mégarde son bouquet. Aucune importance, il ne représentait rien de très cher pour elle. Elle courut, jusuqy'à en être épuisée. Elle avait deux points de côté sur les côtes et la poitrine qui luifaisait atrocement souffrir.
° Temps pis, je reste ici et aussi sur mes gardes °
Mes ses paupières étaient lourdes et une odeur enivrante l'endormait...