Quand l'inspiration des titres nous joue des tours...[Libre]

La falaise était immense, en dessous, 20 mètres plus bas l'eau ce fracasser contre les roches, on pouvait attendre le courant qui mettait en garde quiconque s'en approcher. Il fesait noir, il devait être trois heures du matin. Tout était désert exepter deux hommes.
Alessandra Titubat vers son adversaire en grognant d'un ai tellement feroce qui aurais fait courrire n'importe qui, sauf celui qui ce tenait devant lui.
Pui les rien aucun d'eux ne fesait un gest, on pouvait deviner dans le noir que les iris se confontraient tout les deux a un duel incessant, c'est alors que, en une fraction de second Alessandro bondit sur son adversaire.Il était immense, on pouvait voir sa fourrure d'un noir de jais, ses yeux d'un rouge menaçant, quand au viel homme en face de lui
il était de couleur gris clair, même si on avait du mal a le voir dans le noir, mais celle les pupille jaune du vieux pouvait apporter un peut de lumière a cette scène sauvage.
Il eu aucun mal a intercepeter Alessandro en virant sur la droite, a son tour il ce jeta encore plus vite que alessandro auparavant, mettant celui ci a terre.
Le jeune homme poussa un rugissement de douleur, qui dechira la lune.
Puis il poussa le vielle homme sur le côté et tituba un peu plus loin.

Il faut dire que ce soir là il avait bu un petit peu trop d'alcool, bon OK! Beaucoup trop d'alcool, son collège lui avait refuser
encore une bouteille de whiscky ce qui n'avait pas plus du tout a Alessandro qui était facilement violent.
C'était son patron, il était lui aussi un loup-garou, vieux mais sage.

Alessandro cracha un peu de sang a terre, il tituba sur un arbre et roula un pétard, il l'alluma a l'aide d'un briquer, avec de motifs plutôt érotique.
Puis il poussa un juron

"C'est bon casse toi! Tu as foutu ma chemise en l'air pauvre type."

Il savait bien qu'il n'était pas en mesure de l'ouvrir, son patron était beaucoup plus fort que lui, mais celui-ci ne broncha pas, il tourna les talons avec un sourire méprisant sur son visage. Puis d'un coup il se mit a rigoler, un rire tellement froid, amère. Il était toujours adossé a cette arbre et decida qu'il voulait aller a la plage, de toute manière personne le verrais dans cette état. Qui a cette heure ci allait ce promener ? Mise a par c'est foutu buveur de sang, tant pis, qu'on lui donne son ame au diable! Peut lui importer. Il se dirigea alors nonchalant vers la plage.

La il s'allongea a moitier dans l'eau glacer, son sang bouilliant bruler dans ses tempes. Bien que ses blessures avaient cicatrisé, il lui rester sa chemise déchiré, tacheté de sang, comme si il avait les moyen d'un racheter une! Il soupira et enleva sa chemise laissant apparaître son torse musclé, pleins de cicatrices de son enfance.
Il s'allongea et ferma les yeux écoutant les vagues ce heurter a son corp brulant.

Il était 1h57 du matin, et malgré cette heure tardive, Juliette ne trouvait pas le sommeil...Comment le trouver après avoir brusquement réaliser quelques jours auparavant que vous n'étiez même pas fille unique. L'esprit tourmenté, la jeune fille n'adressait même plus la parole à sa mère. C'était de sa faute, tout était de sa faute. Pourquoi lui avoir menti toutes ces années...? Tout cela ne menait à rien. De plus, Juliette ne cessait de s'infliger du mal, jurant et pestant face à quiconque se trouvait sur son chemin. Les secondes passèrent ainsi que les minutes, et les heures défilèrent sans que la jeune fille ne réussisse à s'endormir, le coeur bien trop lourd. Les yeux encore légèrement rougies par les larmes versée la veille, elle se leva en silence. Ne trouvant rien d'autre sous la main que son short en jeans, elle l'infila sans réellement s'en rendre compte, puis s'emmitoufla avec hâte dans le chandail en laine. Cela ne servait à rien de rester enfermée si le sommeil lui-même ne souhaitait venir.

Finalement, elle se saisit de sa paire de sandales, se glissa par la fenêtre de sa chambre, puis sauta inconsciemment les plusieurs mètres qui séparaient sa fenêtre de la pelouse humide. Maladroite comme il n'était pas permis, elle réussit tout de même à se réceptionner sur les genoux. Juliette se releva, et trottina en direction de la plage de La Push. Pour quelle raison au juste ? Peut-être rencontrerait-elle Seth ? Non, il ne fallait pas rêver. Il devait certainement dormir, lui...

Juliette fit tout le trajet à pied, le tout en silence. Elle n'entendait que le son de sa respiration désordonnée, lâchant une brume de vapeur dans le froid plutôt glacial de la nuit. Un silence de mort régnait, et elle fut bien heureuse lorsqu'elle gagna la plage au sable fin, où l'eau miroitait sous les reflets de la lune. La jeune fille marcha le long de la plage, lorsque soudain, elle remarqua une silhouette mouvante, allongée dans l'eau peu profonde. Qu'est ce qu'un homme pouvait-il bien faire à se baigner dans les eaux glacées par une nuit aussi fraîche...? Juliette se rapprocha un peu du jeune homme, le plus discrètement possible, jusqu'à ce qu'elle se retrouve penchée au-dessus de l'épaule de l'inconnu, qui ne l'avait pas encore remarqué. Quelle inconsciante...!

-Hum...Est-ce que ça va...? risqua-t-elle d'une toute petite voix, à l'adresse du jeune homme.

[i]Il ce leva brusquement de l'eau, il avait pas rêver on lui avait bien adresser la parole, mais le soucis c'est qu'il ne comprenait nul mot de ce que la jeune fille avait voulut dire. Ce soir là Alessandro était de nouveau saoul, mais saoul comme ce n'était pas permis. Il leva les yeux alors sur la jeune fille, de nouveau il regarda de haut en bas sans aucune discretion, il avait pris cette habitude avec les gens, ce qui avait trois conséquence, la première était de faire fui, la second était de mettre mal à l'aise les gens, et la troisième était de se battre.
Il fit un demi sourire mal assuré a la jeune fille, pour repondre a la, surement, question qu'elle avit posé, bien qu'il n'est aucune idée de quoi elle voulais parler.

Puis comme si la jeuen fille était partit, ou même n'était jamais venut, il s'allongea de nouveau dans l'eau glaçer et il s'endormit a moitier. Il avait du rêver, c'est ça , il avait pas les idées très claire etpuis il avait rêver cette jolie demoiselle.
Quelques minutes de silence passèrent jusqu'a ce qui finit par ce levé et allumer son joint rouler la veille par ses soins.
Puis il regarda de nouveau la jeune fille qui était toujours là, bizzard.

"Si vous pouvez me pinçer sa m'aiderai. Je délire."

Sa voix était d'une dureté impressionante, a en faire fréire plus d'un. Par aillieur ele n'avait aucune trace des ravages de l'alcool, drogue dans sa voix, elle était très nette, sans aucunes hachures, ou de hoquets.
Puis il posa ses yeux sur la jeune fille, ses yeux d'un bleu verdâtre luisaient dans la nuit.