Nom: (Rivers) Mon nom n’a jamais été couvert d’éloges, tantôt traîné dans la boue, tantôt veilleurs de l’ombre. Je porte en patronyme celui des Rivers. A l’origine anglaise, nous sommes de provenance Londonienne et beaucoup d’entre nous y vivent encore.
Prénom(s): Mes trois prénoms, Nathan, Lucas et Adam ont tout trois été des choix de ma mère. Les deux derniers –secondaires- sont des hommages à son père et son grand-père (Lucas Baron Rivers et Adam Louis Rivers).
Surnom : Beaucoup de pseudonyme, quelques diminutif tel que Nath’ et ce genre de trouvailles de proche. J’ai tenu une relation d’une semaine où mon partenaire ne connaissait ni mon nom ni mon prénom. Je trouve ces informations inutiles.
Sexe : J’espère que ça se voit aux premiers coups d’œil, je suis un garçon, un jeune homme. Si vous en doutez, je peux vous trouvez plusieurs témoins qui vous assureront de l’exactitude de cette affirmation
Age : J’ai vingt-quatre ans. Pour mon dernier anniversaire, on nous avait collé une amande pour tapage nocturne excessif.
Lieu de résidence : Dans un quartier des coins, en centre-ville. Je viens de m’installer, je connais même pas le nom de la rue.
Date et lieu de naissance : Londres m’a vu naître un 23 mars 1985.
Frère(s) /soeur(s) /père /mère : Ma famille n’a jamais quitté les rivages du Royaume Unis plus d’une semaine. Mon père vis en hôpital psychiatrique et ma mère s’était remarié bien avant que je lève l’ancre. Je suis l’objet d’une série de coucheries sur l’espace de quelques mois. J’ai une demi-sœur, Marion, qui m’écrit de temps en temps. Dans sa dernière carte, elle m’annonçait que ma mère avait de nouveau mis au monde un garçon, Juan et qu’il serait bientôt baptisé. Je ne suis pas venu. Ma grand-mère est morte lorsque j’avais neuf ans.
Caractère et goût :Caractère: Je ne suis pas fou, ni mutant, ni quoi que ce soit. Soyons bien clair sur ce point. Le moindre de mes agissements est dictés par des idées claires et une tête froide. Mon arrogance n'a d'égal à ma fourberie, je ne suis pas bête assoifée de sang ni manipulateur hargneux, j'aime simplement tourner les évènements à mon profit, vivre convenablement même sur le dos des autres ne me dérange pas. Je puix être un garçon serviable, mais les gens n'apprécient pas vraiment ma présence. Toujours souriant à l'ironie, j'ai appris à me taire au moments où il le fallait, à jouer avec les nerfs de mes frères humains et à reconnaître les personnalités face à qui il est mieux de courber l'échine. Hautain, dédaigneux, voilà comment me désigne-t-on à voix basse ou bien droit devant moi. J'accepte ces remarques, je me sais plutôt frêle par rapport à certains et évite de brandir les poings. D'ailleurs, je suis un garçon plutôt calme et renvoie rarement les coups. Quand bien même insulterait-on toutes mes valeurs. A supposer que je sois incensible à ces choses là. Je suis un humain tout de même, il m'arrive d'avoir l'envie vraiment poussée de détruire le visage d'un camarade mais je me contrôle et me contente de fumer tranquillement en médisant intérieurement que j'ai choisis la solution la plus mature.
Si je suis suivis par la médecine, c'est simplement parce que je suis atteint d'une maladie qui, semblerait-il, risque de me faucher une ou deux decennies. Si maintenant j'en ris, à l'époque de la nouvelle, j'ai plongé dans une interrogation profonde de ma vie et de ce que j'en avais fait (à tout dire : rien) et c'est à cette autrefois que j'ai plongé dans l'amour du jeu. J'ai encore l'âge d'être un étudiant. Dommage, j'y pense, que j'ai renoncé à l'université.
Je dois m'avouer un peu parano, répugné à l'idée de donné mon vrai nom comme si on pouvait me poursuivre. Je ne m'attarde ni sur le passé ni sur le futur.
En amour, je serais...absent. Les seuls personnes pour qui j'ai jamais consommer un amour fou, je ne me suis jamais permis de les toucher, de peur de les salir probablement. Tordu oui, fou non.
Parfois agaçant, particulièrement çynique, les mots sont des armes que je manipule mieux que le reste. Mon rêve serait de gagner le jackpot et de pouvoir migrer vers la Nouvelle Zelande afin de vivre les doigts de pieds en éventail. Mal parti, tout l'héritage paternel à été bouffé par la grande roue du casino. A part ça, je suis quelqu'un de plutôt sympathique, sans méchanceté gratuite.
Goûts: J'aime le cinéma Burtonnien, la musique rock ou les vieux tubes des années soixante, l'urbanisation. Non, je n'aime pas la nature. Je dois développer pas mal d'alergies. La solitude est mon agréable lot et je ne me plains pas d'être sa marionette. J'ai longtemps été habitué à rester enfermé mais avec le temps, je ne supporterait plus de rester cloîtré autant de temps dans une seule pièce. J'étais un gamin très renfermé. La drague n'est pas ma tasse de thé. J'aime beaucoup voyager, écrire, je joue un peu de piano. Si je faisais un commentaire sur mes goûts dans tout les domaines, je pense que je pourrais faire un roman alors on va s'arrêter là.
Description physique :
Mon visage, ovale, long, les joues légèrement creuses, est surmonté d’une semence ordonnée de cheveux bruns dont je me charge seul de l’entretien. Au dessus de mon nez, droit et pas trop long où parfois se perche une paire de lunette, deux yeux bruns fichés dans leur orbites vous parcourent sans gêne. Le regard est étrange, on dirait qu’il manque un élément. Terne, la prunelle semble avoir perdu son éclat et ne plus briller de la moindre émotion. Sur mes traits, ont lit souvent de la confiance, de l’arrogance, de l’ironie. Les sourcils sont épais et clairs. Là où trône de temps à autre une cigarette hasardeuse, mon sourire n’est pas toujours rassurant, en coin, je fais rarement la gueule cependant. Je ne suis pas méchant, je n’ai pas d’expression terrifiante. S’il y a beaucoup de raisons de me détester, elle ne se lisent pas ouvertement sur mon front et dans mes paroles. Une barbe de deux jours vit parfois sur mon menton et mes joues. Dans les moments de panique, de plus en plus rare, il arrive que ma pomme d’Adam monte et descende. Je porte deux tatouage, un au niveau du cou (Le lettre « A » en majuscule gothique) et le second sur le rein (une salamandre crachant du feu). Je n’ai pas une gueule de Dieu grec, on peux le dire. J’ai d’autre atours pour draguer.
Mon torse présente l’imperfection d’une cicatrice qui le raye à la poitrine, jour où j’ai fait face à un adolescent qui m’a égratigné avec son couteau, un délinquant venu foutre ses bottes dans mon appartements d’étudiant. Ce n’est pas le genre de marque qu’on porte comme une fierté, elle n’a rien de très sexy, cet imbécile m’avait enfoncé son engin dans la chair. Mon épiderme vacille d’été à hiver, rien ne m’interdit de traîner mes baskets sous le soleil, mais j’ai passé une grande partie de ma jeunesse sous le toit de la maison sans trop aimer sortir même lorsque le ciel se teignait de bleu ainsi je conserve une peau relativement pâle sans être cadavérique pour autant. Aux premiers coups d’œil, je n’ai rien d’intimidant, au deuxième non plus d’ailleurs, même les imbéciles, je n’aime pas les frapper. Je suis filiforme.
Une paire de basket, un jean moulant, une chemise et parfois une cravate mal placée, je ne me renouvelle pas. La où flotte une fumée et une odeur de cigarette, il y a des chances de me trouver. C’est à peine si je sors sans lunette de soleil, et sinon je conserve celle de vue. Parfois je vis à regard nu mais c’est rare.
Qualités (3 minimum): Je suis un être changeant, cultivé et adroit. Habile de mes mains puisque j’ai eu l’occasion de donner de mes services dans un casino avant de devenir joueur dépendant. Si on accepte ma personnalité, je peux être un confident pour le moins franc. Pas toujours agréable j’en conviens. C’est pour ça que j’évite de me faire trop d’amis.
Défauts (3 minimum): Lâche, manipulateur, paranoïaque, joueur. L’arrogance est un lot qui ne me quitte, mon cynisme est immortel. Je suis tout sauf fidèle et si la situation tourne mal, c’est moi qui tournerait ma veste si par hasard le camps adverse s’avère être le plus fort. Si les vampires aiment la viande fraiche, je peux leur en fournir, du moment qu’il ne me touche pas. On dit que je vendrais ma propre mère et je dois reconnaître qu’en y réfléchissant, c’est bien possible. Ayant déjà abattu des êtres, je n’ai plus peur d’user d’une arme même si je n’aime pas ça, rien ne m’excite dans le sang. Le bon confident que je suis trahira si besoin est les secrets qu’on lui confie. Je vis aux crochets des autres, joue comme si ma vie en dépendait est aborde l’existence avec une ironie pour le moins insupportable. Je ne suis pas méchant, je suis juste un homme qui à envie de vivre et qui pour ça joue toutes les parties. Je donnerais mon meilleur ami au diable (ou au vampires) pour passer mes jours les doigts de pieds en éventail. En amour, je suis adorable mais pas très fidèle hélas. Loin d’être un pervers, j’ai juste besoin de nouveau horizon. Je ne suis pas vraiment quelqu’un qu’on peut considérer comme très humain, cependant je vous garantit que si aucune ombre désagréable ne se pointe, je suis très agréable.
Histoire (10 lignes complètes minimum):
Mon père était un fonctionnaires douteux suivi par une ribambelle de psy, qui, dans ces premières années de carrière, participait à un trafic de cocaïne. Avec l'âge, ces petits crimes ont commencé à prendre plus d'amplitude et j'ai grandi tandis ce qu'il croupissait non pas en prison mais en hopitâl psychatrique. Il n'a jamais été complètement stable, sévèrement battu par son paternel durant son enfance (il porte deux grandes cicatrices au torse), Lucas Rivers n'a trouver qu'un lap de bohneur avec ma mère sur une durée d'environ un mois. Curieusement, cet homme absent dont je ne connais que ce que j'apprends de la bouche des autres et de son dossier judiciaire, est la personne de ma famille que je visite le plus. Ma mère, Aurore, était à la base une actrice ratée qui finit par sombrer dans l'alcool. Bien qu'elle se soit toujours montré aimante, je n'appréciait pas du tout sa présence. J'ignore comment ils se sont rencontrés, encore moins ce qui à poussé Lucas à dégager.
Gamin, j'étais très renfermé, c'est le moins qu'on puisse dire. Terrifié par l'orage, je passais mes heures à jouer avec les objets qu'on m'offrait. Blond -j'ai teint mes cheveux depuis-, paraît que j'étais le portrait de mon père. J'aimais lire des comics, regarder la télé et manger des lasagnes.
A l'âge de treize ans, je visite pour la première fois Lucas-j'ai toujours apellé Father par son prénom- dans son asile. On m'a apprit plus tard que s'il était si calme, c'était juste qu'on lui avait injecter un calmant avant que j'arrive. Il a été transféré dans une ville en Amérique. Des années ans plus tard, je l’ai rejoint. Pas en hôpital bien sûr. En Amérique. Un détail curieux, cet homme complètement fou est la seule famille que j’ai accepté de suivre.
Mon oncle m'emmenait au casino avec lui et m'a enseigné les règles du jeu. J'ai commencé à fréquenter les grandes salles. Après avoir bouclé mes études, je recommence à exiger de voir mon père et obtient un rendez-vous deux fois par an, chose exceptionnel pour un cinglé grave. Nous sommes toujours séparés par une vitre, mais c'est un type plutôt philosophe (et ô combien cynique). Mon diplôme en main, je ne cherche pas de travail en particulier, jamais encore je n'ai réussi à me trouver correctement une orientation. Tantôt apprenti en menuiserie, stagiaire dans un salon de coiffure, avant de finir dans une parfumerie. Je n'ai jamais vraiment cherché à suivre un chemin précis.
Avez-vous lu les livres de Stephenie meyer ?
Je confesse, les deux premiers tomes gisent près de mon lit depuis Noël, j’ai feuilleté les premiers chapitres mais n’ai pas vraiment réussi à me laisser emporter. On m’a raconté l’histoire et je n’ai pas trouvé ça déplaisant. Les amis qui ont essayé de m’initier ont tout de même dut me traîner dans la salle de cinéma. Quelle culture étendue, je sais...Si ça peut vous rassurer, j'ai quand même plutôt bien cerner l'histoire et le genre.
Avez-vous lu le règlement ?
Yes, sir.
Preuve (dans le règlement):
Fascination
Dim 22 Mar - 18:23
