Nom : Sunday. Si si, comme les glaces de ce bon vieux Mc Donald . . . oups, pardon pour la marque. On ne me poursuivra pas en justice, j’espère ? * Pas taper *
Prénom : Rose Mary Felicity. Tout le monde l’appelle par son troisième prénom ; sauf sa famille qui lui inflige Rose Mary.
Surnom : Ely, et moins gracieusement Koala ou Limace.
Sexe : Un homme, bien sûr ! Ahem, féminin.
Age : 17 ans que ce pauvre monde la supporte.
Lieu de résidence : Un loft dans la Silicon Valley chez son père, et une grande maison à Forks chez sa mère.
Date et lieu de naissance : Sydney, Australie, le 19 juillet 1991.
Frère(s) /soeur(s) /père /mère : Père et mère divorcés, un frère avec lequel il y a quelques problèmes (voir histoire).
Caractère et goûts
Depuis plusieurs années, Rose Mary Felicity Sunday représente un mystère insoluble pour le monde de la psychanalyse. Reste à voir pourquoi. C’est une surdouée ? Non. C’est une psychopathe ? Non plus. C’est un médium ? Vous n’y êtes pas.
Ely est simplement très, très, trèèèès . . . lente.
Son cerveau est en permanence plongé dans une espèce de léthargie. La jeune fille a été envoyée par ses parents chez de nombreux psychologues pour comprendre le problème ; ces derniers ont fini clients dans leurs propres cabinets. Il se trouve que si physiquement, la jeune fille est un concentré d’énergie et d’endurance, tout ce qui concerne le cerveau, chez elle, fonctionne au ralenti. Elle réagit à ce qu’on lui dit trois secondes plus tard (ou pas du tout), oublie la fin de ses phrases le temps d’en terminer la première moitié. Ce qui en énerve plus d’un. Cette lenteur accablante, l’empêche de s’exprimer normalement. C’est pourquoi, même si une situation lui déplaît énormément, elle ne le laissera pas voir. De toute façon, aucune situation ne lui déplaît énormément. Ely est le portrait typique de la joyeuse flemmarde, toujours heureuse de ce qui lui arrive, toujours prête à surmonter les obstacles avec le sourire, et volontiers bonne poire. Le petit problème dans tout ça, c’est qu’on la prend vite pour une fille stupide et naïve. Ce qui pourtant n’est pas le cas.
Quant aux goûts, l’adolescente a trois amours de toujours : en première place son oreiller, en seconde le jeu du tarot, et en troisième le beau grand soleil, qu’elle a d’ailleurs la particularité de saluer tous les matins en ouvrant sa fenêtre. Ses voisins d’en face ont donc une belle vue sur la jeune fille, en t-shirt et minishort, en train de faire de grands signes de main et de crier « Bonjour le soleil ! » à tout va.
Bizarre, vous avez dit bizarre ?
Description physique
Comment qualifier Rose Mary ? Elle est avant tout physiquement banale. Des cheveux châtain foncé, longs et jamais coiffés, comme au saut du lit. Des fossettes charmantes, un sourire quasi-éternel. La jeune fille donne une impression générale de fraîcheur et d’insouciance. Une silhouette tout ce qu’il y a de plus normal, taille proportionnelle au poids. Pas de poitrine surdéveloppée, ni de muscles astronomiques. Juste la seconde de sa classe en sport, que demander de plus ? Ce qu’il y a sans doute de plus remarquable chez Ely, c’est yeux : ils sont d’un bleu plus foncé que le plus profond des lacs, et piquetés de taches dorées. Assez étranges. Des mirettes très expressives, en tout cas ; on a du mal à soutenir son regard sans en ressentir une certaine émotion.
Question tenue vestimentaire, on fait dans le simple : Rose Mary préfère les couleurs claires et fraîches : blanc, vert pomme, bleu lagon, pêche. Elle ne se sépare jamais d’une ficelle de lin à son coup, à laquelle est accroché un pendentif en forme de soleil. La jeune fille tient énormément à ce bijou (voir histoire).
Qualités : Tranquille, optimiste, loyale, fonceuse quand elle veut.
Défauts : D'apparence naïve, Paresseuse sur les bords, trop passive, parfois bonne poire.
Histoire
Notre Koala préféré est né là où l’on s’attend à voir naître un koala : en Australie. Plus précisément au cours d’une croisière de rêve sur un yacht de luxe, pendant une escale à Sydney. Sauf que ses géniteurs, à défaut d’être de gentils parents koalas, se révélèrent être un père et une mère humains et fortunés, et qui en plus eurent la bonne idée d’appeler leur fille Rose Mary Felicity, de l’envoyer jouer plus loin et de divorcer un an après sa naissance. C’est ainsi que la jeune Sunday passa son enfance à faire la navette entre un bled paumé nommé Forks et ce centre de haute technologie qu’est la Silicon Valley, en plein cœur de la Californie.
Dans la villa de sa mère, de style européen, il faisait toujours gris et froid ; ben c’était Forks, quoi. Koala y vécut jusqu’à ses dix ans, et souffrait de ne pas pouvoir dire bonjour à son cher soleil tous les matins. Sa business-lady de mère n’était jamais là, et elle passait son temps libre soit à jouer au tarot toute seule dans le salon, soit à lambiner sur le canapé, soit à regarder la pluie tomber, affalée sur le rebord de sa fenêtre.
Chez son père, ingénieur lauréat d’un prix Nobel, c’était un loft high-tech. Très high-tech. Un peu trop high-tech, peut-être ? Disons juste que six ans après son emménagement, Rose Mary ne savait toujours pas comment ouvrir la porte, et restait devant l’entrée comme une idiote à attendre son papa. Enfin, c’était pratique d’avoir une maison entièrement robotisée, mais la jeune fille aurait préféré passer l’aspirateur elle-même plutôt que de se prendre vingt-trois machines autonomes dans les pieds toutes les trois secondes. Néanmoins, elle préférait être là plutôt qu’à Forks : il y avait du soleil, au moins.
A seize ans, Ely appris qu’elle avait un frère de sept ans son aîné. Tiens.
Certes, on le lui avait déjà dit, mais à chaque fois ça lui passait à côté de la centrale cérébrale. De toute façon, apparemment, ce frère-là n’était pas un exemple à suivre. Après que ses parents l’aient envoyé faire son éducation chez ses grands-parents, il aurait tout plaqué –ses études, ses copains, sa famille-, aurait demandé son émancipation et se serait tiré au Québec. Depuis sa majorité, on n’avait plus aucune nouvelle de lui. Bref, on ne pouvait pas dire que Rose Mary connaissait énormément son frère, loin de là. La seule chose qui lui était familière, c’était une photo de lui à dix-sept ans, la dernière que ses grands-parents aient prise. Elle l’avait pliée le plus possible, et la gardait toujours dans un pendentif d’argent à son cou. D’ailleurs, elle la garde toujours.
Et puis, il y a peu, le loft du papa dut fermer pour cause d’énièmes travaux. La jeune fille fut envoyée chez sa mère. Fini le soleil, et en plus, connaissant le perfectionnisme du paternel, pour une durée indéterminée. Zut. Ely devrait changer de lycée, et peut-être abandonner l’idée de dire bonjour à l’astre du jour. Elle pourrait se mettre à saluer les nuages et la pluie. Mais il fallait bien qu’elle salue quelque chose en se levant !
Avez-vous lu les livres de Stephenie meyer ? J'ai vu le film, ai reçu un résumé très précis de tous les livres et je suis en train . . . de lire le tome 1. Si c'est pas formidable . . . j'ai honte - -'
Avez-vous lu le règlement ? Oui mon commandant.
Preuve : Euh . . . [{Fascination}], what else ?
'tite précision à propos de mon avatar . . . il se trouve que je suis THE mal-aimée des hébergeurs, donc je ne peux pas mettre de grande image. Peut-être un jour, s'il y a un miracle - -' Vous m'en voyez désolée.