Nom : lutti
Prénom :Alessandro
Sexe : Masculin, jusqu'a preuve du contraire :O
Age : 23 ans
Lieu de résidence :Port-angeles, dans un appartement minable.
Date et lieu de naissance : La push, Aucune idée de l'année.
Frère(s) /soeur(s) /père /mère : Père Roberto Lutti
Caractère et goûts:A vrai dire, je suis quelqu'un de bien, je veux dire au fond, je suis quelqu'un d'adorable. J'adore discuter, rencontrer des gens, les aider, en général y a pas de problèmes, je suis pas barman pour rien, les contacts humains ça me connait et à vrai dire c'est souvent vers moi que les gens se tournent pour se confier, un barman c'est neutre, ça a déjà vécu, bref c'est pratique. Mais en vérité je suis capable de m'énerver pour la moindre remarque de travers, je suis quelqu'un d'irascible au caractère de chien, assez orgueilleux je ramène tout à moi. Je suis méprisant avec ceux qui ne correspondent pas à mon gout, je suis violent assez rapidement et m'émèche deux fois plus vite après quelques verres. Oui je suis aussi plutôt porté sur la bouteille, disons carrément alcoolique, et c'est pas tout, alcoolique et drogué. Je suis ce que mes parents, bourges péteux, appellent un déchet de la société. La baston, je trouve ça amusant, je m'enfile au minimum une bouteille de whisky par soir soir mais c'est un minimum. Je dirais que je bois plus de bière que d'eau ,je mange pour quatre, je deviens extrêmement dangereux quand je suis en manque d'autant qu'il m'arrive alors de me transformer sans y faire gaffe. Un danger autant pour mes amis que pour mes ennemis, autant pour moi que pour les autres. Je suis plutôt à tenir en laisse
Description physique :Je suis beau, je dois être beau, oui certainement, mon visage n'a rien de banal, mes traits sont peut être un peu durs mais dans tous les cas il serait hypocrite de me dire laid. Seulement je ne suis pas le petit minet propre sur lui, et ça doit être cela qui repousse au premier abord, une barbe de plusieurs jours recouvre mon visage, poilu, musclé aussi, j'ai la dégaine d'un punk-soft sans le sou qui passerait sa vie à trainer dans les bas quartiers à faire des combats de rue pour arrondir ses fins de mois. On dit qu'on doit pas se fier aux apparence, dans mon cas on peut, je suis ce de quoi j'ai l'air. La peau ni sombre ni claire, je suis plutôt grand, les cheveux longs en bataille, jamais coiffés, noués de partout, les yeux gris-verts. En général je m'habille de perfecto abîmés, de pantalons plutôt larges, je porte des rangers, des chemise débraillées, t shirt trop larges et débardeurs. Bref, même en hiver j'ai pas vraiment besoin de plus, pas frileux le bestiau. J'ai un tatouage représentant des ronces autour d'un micro sur l'avant bras gauche et un loup tatoué sur l'omoplate droite. Croyant malgré tout, une croix de bois pend à un collier constamment accroché autour de mon cou.
Qualités: Gentille une fois sur quatre, attirant physiquement, il a une voix magnifique a la fois mieuleuse et dur, envoutante. C'est quelqu'un de très actifs, il n'aime pas resté en place
Défauts : Violent, Alcoolique, drogué, pauvre, impulsif mais a la fois tellement attirant.
Histoire:faisons le point sur l'histoire d'alessandro
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Ahahahaha !
A chaque seconde je m'enfonce un peu plus. J'apprend à nager dans cet océan de terreur et de sang pour ne pas me noyer.
J'ai grandit loin de la puanteur des bas quartiers, de la crasse des bars glauques, de la fumée de la cigarette et de toutes autre choses fumables. Loin des seringues de cette merde de V, loin des rails, loin de tous ces cadavres, des bouteilles brisées, de la désolation du monde. Je suis né en France à Strasbourg dans une famille de riche bourgeois. Médecin, avocats, publicitaires, commerciaux, bref tant que ça rapportait, voilà les métiers qu'on pouvait faire. J'ai grandit dans un monde hypocrite, les yeux bandés par ce voile qu'est l'argent, derrière le rideau de l'aisance. Grandes écoles, cours particuliers, piano, violon, bridge, poker, billard, golf, théâtre, opéra, j'en passe et des meilleurs, bref, voici ce à quoi ressemblait ma vie de mes cinq ans à mes 18, 20, non, 23 ans. Quand on est comme moi on a plus vraiment la même conception du temps, quand on sait qu'on enterrera au minimum ses petits enfants, on voit plus vraiment la vie de la même manière. Soit je n'aurai pas d'enfant, le monde est fait pour les grands. Alors comment en suis-je arriver là? Barman dans un vieux pub miteux, vous allez comprendre, laissez moi vous raconter ça. J'ai donc passé un bac de lettre avec mention très bien, s'il vous plait. Puis j'ai fait des études de droit. Mais le droit m'a très vite lassé. Après une centaine de débats, de disputes et tout autant de coups perdus mon père a accepté de me faire rentrer en hypocagne, pas mon truc, j'étais de toute manière dégouté du système scolaire mais c'était un bon compromis pour moi qui avais de l'affection pour les lettres. J'avais donc 19 ans en entrant en prépa, j'ai côtoyé la bas des gens de toute sorte, dont certain qui me renvoyèrent à ma propre image, ou celle de ma famille, ce genre de type méprisant qui s'ils pouvaient vous écraser avec leurs pieds le ferait volontier. J'ai commencer à changer, à m'ouvrir l'esprit. 21 ans, je sortais de prépa avec une passion dans la tête la musique. Je jouait toujours un peu de piano et même encore du violon mais ce que j'adorais c'était chanter, à l'insu de mon père je me faisais des concerts avec un groupe de pote. Et là je me lâchais, je m'éclatais, je laissais de coté les beaux vestons, les montres à gousset, tous ces trucs de riches pour me montrer tel que j'étais: perfecto, rangers, ceinture à clou et gueulant des gros "fuck society", "no future" à des salles de mecs torchés dont au moins un quart finirait sa soirée comatant dans sa gerbe. Puis le lendemain matin, je retrouvais mes parents, la gueule de bois à peine suspecte, des capotes utilisées et nouées dans les poches d'un pantalon troué que j'avais pas enlevé de la nuit. Mon père me me menaça de me virer de la maison, et ce fut à nouveau après un compromis que nous pûmes continuer à nous entendre hypocritement. En effet, un guitariste de bonne famille m'avait proposé de chanter pour son groupe, Takeshima Ueda s'appelait il. Vu de quelle famille il descendait, mon père était plus que ravi de me voir travailler avec ce type. Nous devînmes a vrai dire plutôt amis, Takeshima et moi, nous remplissions les salles et bientôt nous connûmes la célébrité. J'avais trouvé ma voix, j'étais comme destiné à continuer ainsi. Pourtant à 23 ans, soir de pleine lune, je montais sur ma moto et allais le plus loin possible, le sang bouillonnant, nous avions assuré, ça ne pouvait pas être le stress. J'avais regardé Takeshima et avais ressenti comme une haine profonde, un besoin de violence, d'agression pour ce type. Alors j'avais fui, et regardant la lune, je m'étais soudain transformé pour la première fois, en ce que j'étais réellement. Je quittais le groupe une semaine plus tard, sans prévenir, à chaque fois j'avais cette envie de déchirer ce type. Tout éclabousser d'un joli bain de son sang, et dans son regard je pouvais lire la même haine. Mon père ne comprit pas ma décision. Il comprit encore moins mes crises les soirs de pleines lunes. Ou parfois simplement dans la rue, quand je croisais certains types qui à mes yeux n'avaient rien de spécial. Mes parents vinrent alors habiter en Angleterre avec moi, ou j'avais déménagé pour le groupe. S'inquiétant trop, et surtout, trop hypocritement. Car ils me firent envoyer en asile un mois après.
Les psychiatres ne trouvant rien me concernant me laissèrent sortirent. Je retournais chez mes parents, j'avais alors 24 ans, et j'étais un loup garou. Considéré comme anormal, ils me déshéritèrent à la pleine lune suivante, je ne les revu jamais, je me retrouvais vite à la rue, ne pouvant payer le prêt de la maison. C'est ainsi que je devins barman, moi qui avais été riche à crever, moi qui avais été une star, je devins barman dans un pub miteux, je sombrais dans la drogue et dans l'alcool. De plus en plus je devins irascible, je me mis à mépriser les bourgeois. Je compris vite que ces types qui me faisaient réagir ainsi, étaient des vampires, cela fut révélé, et moi j'étais un de leurs ennemis héréditaires, une de ces créature encore inconnu aux yeux des humains, un loup garou. ça fait 3 ans que j'exerce mon métier, ça fait quatre an que je me suis transformé en ce que je suis. Et j'ai déjà trop tué, pas seulement des vampires, des humains aussi, lors d'accès de rage incontrôlable. J'ai 27 ans mais ma croissance s'est arrêté à mes 23, j'ai aucune chance de m'en sortir, j'ai aucune envie de m'en sortir, ma vie est plongée à jamais dans la fumée de la clope, elle se joue à une seringue près à chaque fois que mes mains tremblent à nouveau.
Nom de la star sur l'avatar: Orlando bloom
Avez-vous lu les livres de Stephenie meyer ? Les deux premiers
Avez-vous lu le règlement ? Bien sur.
Preuve (dans le règlement): Ok by Kate