Projet contrarié [libre]

Port Angeles... Ville perdue de l'état de Washington, elle n'a pas de réel attrait pour un homme ayant vécu à Volterra et pourtant... Au cœur de cette ville vit un bijoutier quelque peu étrange, on dit de lui qu'il est fou et pourtant il créait des bijoux plus irréels que ceux des plus grands créateurs.

C'était quelques mois plutôt, lors de l'affrontement avec les Volturi, ces êtres qu'il avait laissé derrière lui, qu'il avait découvert un bijou digne de son épouse, digne de sa beauté. Un pendentif fait d'or blanc, serti de deux pierres en son centre, deux rubis magnifiques taillés en forme de deux moitiés d'un même cœur. Il le lui fallait, il en était sûr ! C'était pour cette unique raison qu'il avait laissé Carmen en Alaska.

Eléazar avança à travers les rues sombres de Port Angeles, certain que l'objet qu'il convoitait plus que tout depuis de nombreux mois serait toujours dans la boutique - surtout vu le prix exorbitant qu'en demandait le bijoutier - il fut surprit, en approchant du magasin, de voir que la vitrine de la boutique n'était déjà plus éclairée. Posé sur une étale, le bijou était toujours là, rayonnant de ses milles feux sous le faible éclairage des lampadaires.

Un bruit retenti à l’arrière de la boutique, léger, presque imperceptible à l’oreille humaine et pourtant perceptible à celle d’un vampire. Eléazar tendit l’oreille, cherchant ce qui pouvait déclencher ce léger cliquètement qui commençait à l’énerver. Pourtant, un souffle rapide, saccadé résonnait au rythme de ces battements. Il ne pouvait s’agir d’un humain puisqu’il percevait des battements plus rapide que ceux d'un cœur, ni même d’un de ces modificateurs. Pourtant ce léger battement rapide lui rappelait celui du cœur de l’enfant d’Edward. Existerait-il bien plus de ces étranges êtres qu’il ne l’avait imaginé, probablement pourtant il s’agissait d’une chose inconcevable.

Intrigué, Eléazar gagna la ruelle qui donnait à l’arrière de la boutique. Ce léger bruit n’était en rien ce qu’il pensait… Devant lui, dans un petit carton gisait le corps affaibli d’un animal au pelage roux. Il s’agissait d’une jeune chatte tentant de mettre bas sa portée, sûrement la première et dernière…

" Pauvre animal… "

Tendant la main vers le chat, Eléazar du la reculer aussi vite, elle menaçait de lui lacérer le bras.

" Je ne désire que t’aider… même si j’avoue ne pas savoir quoi faire ! "

Observant autour de lui, à la recherche de quelques objets pouvant servir de récipient, Eléazar fini par forcer la serrure du magasin avant d'entrer dans une pièce sonmbre qu'il reconnut comme étant l'atelier de l'homme aux odeurs de métaux et de cristaux qui se baladaient dans l'air. Eléazar était à la recherche d’un petit bol quand un bruit attira son attention. Il n’était pas seul…

Il faisait déjà sombre dans les rues de Port Angeles, lorsque Pénéloppe était entré par effraction dans l'arrière boutique de la bijouterie la plus convoitée du coin. Comment avait-elle pû se révéler aussi stupide...? Si jamais un humain la prenait par surprise, elle aurait certainement de gros ennuis...

La veille, la jeune femme arpentait comme à son habitude les rues plus ou moins déserte de Port Angeles. Ses pas l'avaient mené jusqu'à cette fameuse boutique où de splendides bijoux y étaient exposés, ici et là, perdus sur les étalages. Tous en pierres rares, riches et somptueuses. Elle était donc rentrée dans cette bijouterie, dans l'espoir de pouvoir se divertir. Lorsque l'on vie pour l'éternité, on est près à tout pour se distraire...Pénéloppe avait essayé plusieurs bracelets, ainsi que quelques colliers et pendentifs de divers genre. Pour cela, il lui avait fallut se séparer du pendentif de sa mère, qui d'ordinaire ne quittait jamais son cou.
Ce n'était que le lendemain en fin de soirée qu'elle réalisa avoir oublié son pendentif dans la boutique. Ce bijou représentait tant pour elle...La boutique était pourtant fermée à cette heure, mais elle ne pouvait se résoudre à le laisser sur place.

La jeune femme s'était donc rendue dans la ruelle déserte, menant à cet endroit précis. Elle avait réussit à se glisser entre les barreaux de la fenêtre donnant sur l'arrière. Formidable danseuse en étant humaine, elle avait conservé sa souplesse qui une fois devenue vampire, s'était encore améliorée. Son coeur avait beau ne plus battre, elle sentait sa réspiration s'accélerer. Elle avançait à tâton dans la boutique, essayant veinement de se souvenir de l'endroit exact où elle avait déposé son pendentif. Si un humain surpenait la jeune femme en effraction dans une boutique de bijoux somptueux, il ne se poserait pas plus de questions, et ce même si son but n'était pas de voler.

Elle pénétra ensuite dans semblait-il l'atelier du fabriquant, lorsque soudain elle entendit un bruit de serrure que l'on forçait. Elle se figea instantanément, la respiration coupée. Il était rare de la voir si vulnérable, mais en ces conditions, elle ne pouvait éviter de ne pas l'être. Au même instant, une porte s'ouvrit en silence, et la lumière du lampadair de l'éxterieur vint éclairer le visage de la jeune femme, qui fit bientôt face à un homme de grande taille. Pénéloppe recula aussitôt, mais se cogna à un étalage de bijoux situé derrière elle, et il ne fallut pas moins de quelques secondes pour que la plupart des bijoux se retrouvent gisant sur le sol.

La mine éffarée, elle revela la tête en direction de l'inconnu.

-Ce...ce n'est pas ce que vous croyez, je vous assure, je...je venais simplement récupérer quelque chose qui m'est précieux.

Jamais elle ne s'était sentie aussi mal, et encore une fois, elle ne put que se haïr...

Les bijoux jonchaient le sol, alors que devant lui se tenait une jeune femme, une vampire pour être exacte. Elle semblait gênée et cherchait à expliquer son incursion dans la bijouterie, alors que lui-même était entré par effraction. Il ne restait d'ailleurs pas grand chose du loquet, il n'avait jamais été doué pour pénétrer par effraction. Etrangement, ils avaient été surpris tout les deux, chacun à la recherche de quelque chose probablement.

La fixant d'un regard amusé et surpris, Eléazar s'amusa de sa capacité. Malgré cela, elle n'avait pas fait attention à ce qui se préparer. Observant autour de lui, il entreprit d'ouvrir quelques placard à la recherche du récipient qui l'avait amené en ce lieu tout en continuant de garder l'œil sur la jeune vampire, juste au cas où.

*L'habit ne fait pas le moine...*

"Je ne crois rien, ne vous inquiétez pas ! Au moins vous avez été plus discrète que moi..."

Je m'arrêtais de chercher, ayant mis la main sur ce que je recherchais. Un petit récipient ovale de quelques centimètres de hauteur, en terre cuite, que le bijoutier devait surement utiliser pour ses mélanges ou quelque chose dans le genre. Avançant vers l'évier, je le rempli d'un peu d'eau avant de me tenir face à la jeune femme, un sourire sur les lèvres.

"Que recherchez-vous pour avoir pénétré par effraction en ce lieu, jeune demoiselle ? Si ce n'est pas indiscret !"

Elle ne semblait pas être une voleuse, donc il s'agissait d'autre chose. Eléazar la fixa plus intensément, cherchant à découvrir ce qui pouvait attirer une personne telle qu'elle dans un lieu fermé. Puis, il se rappela des bijoux éparpillés sur le sol à la suite du recul de la jeune femme. Certains d'entre eux, il les avait déjà aperçut mais d'autres étaient une nouveauté du créateur, toujours aussi beau.

Alors qu'elle se maudissait toujours, étant plutôt le genre de vampire torturé, elle fixait l'inconnu qui contrairement à ce qu'elle pensait, se montrait d'une décontraction peu commune. Il ne lui fallut que peu de temps pour reconnaître le vampire qui lui servait à présent d'interlocuteur. Le détachement du jeune homme réussit malgré tout à la détendre quelque peu, jusqu'à ce que ses muscles se détendent les uns après les autres.

Pénéloppe restait pourtant dans sa position défensive, même si le vampire ne lui vouait pas grand interêt. En y réfléchissant, cette situation était plus amusante qu'angoissante. La jeune femme tentait de se justifier, alors que l'inconnu lui-même n'avait à prioris rien à faire dans cette bijouterie. Le jeune homme s'affairait à entre-ouvrir toutes sortes de placard, cherchant apparement lui aussi un quelconque objet. La jeune femme quant à elle avait opté pour une position plus naturelle tout en restant immobile, des dizaines de bijoux à ses pieds.

Il rompit tout s'abord le silence qui s'était installé, avouant le fait qu'elle avait été soit disant plus discrète.

-Je ne sais pas si renverser un étalage de bijoux et de pierres précieuses peut être qualifier comme discret, lança-t-elle tout de même en un sourire sarcastique.

Finalement, durant les minutes qui s'ensuivirent, la jeune femme fut bien plus détendue face à l'allure décontractée du jeune homme, d'autant plus qu'il ne s'agissait pas d'un humain mais d'un vampire. Finalement, l'homme en question parut satisfait de l'objet qu'il tenait en main : un petit récipient ovale en terre cuite. Elle fronça légèrement les sourcils, puis remarqua alors que le vampire la fixait plus intensément, lui vouant cette fois-ci un véritable interêt. Alors, Pénéloppe le fixa de ses prunelles dorées elle aussi, le dévisageant peu à peu. Entrer par effraction dans cette boutique ne lui posait probablement aucun soucis. Elle dut néanmoins s'avouer qu'il s'agissait d'un charmant vampire. Il lui demanda cette fois-ci quelle était la cause de sa recherche. La jeune femme se raidit instinctivement, mais fit comme si de rien n'était. Elle laissa durer le silence puis finit par répondre.

-Je cherche le pendentif de ma mère...Il me semble l'avoir perdu dans cette boutique.

Un nouveau moment de silence fit irruption, mais elle le rompit bien assez vite.

-Et vous, c'est pour un bol en terre cuite que vous êtes entrez par effraction dans un bijouterie...? demanda-t-elle avec son habituel sourire en coin, en désignant d'un geste de la main le bol qu'il tenait en main.

Perdre un pendentif dans une bijouterie, c'est assez original comme oubli. Eléazar se retenait de sourire, ce n'était pas une excellente idée surtout qu'ils n'avaient pas intérêt à se faire remarquer dans une situation comme la leur. Deux intrus dans la bijouterie, en pleine nuit, on allait forcement croire à une coïncidence... Bien peu probable. Eléazar fut tout de même intrigué, perdre un bijou d'accord mais pourquoi ne pas revenir le chercher dans la journée, à moins que la perte ne soit dû au même genre d'intrusion.

Alors qu'il allait lui poser la question, la jeune femme le devança. Elle lui indiqua le bol qu'il avait dans la main et qu'il venait de remplir d'un fond d'eau. Pourquoi avait-il cherché ce bol, ah oui, le chat... la surprise de la réponse lui en avait fait oublier la raison de sa propre intrusion dans l'arrière boutique. Peu fier de lui, Eléazar esquissa un sourire avant de répondre.

"Un jeune chat met bas dans des cartons derrière la boutique, j'ignore pourquoi mais j'ai pensé qu'un bol d'eau pourrait l'aider... même si en réalité, j'en doute !"

En effet, il aurait peut-être mieux valut emmener l'animal chez un vétérinaire. Pourtant, à cette heure tardive, Eléazar douté de pouvoir trouver un cabinet ouvert. Surtout dans une ville aussi petite que Port Angeles, même si elle attirait, semblait-il, bien du monde depuis quelques temps.

"N'auriez-vous pas quelques notions en soin par hasard ?"

Même si Eléazar en douté, il ne se fiait pas aux apparences. De plus, il ignorait l'âge réel de cette personne, et ce même si à son avis elle était encore assez jeune, plus que lui en tout cas. Ses iris ocre trahissaient, en plus de son régime "végétarien", une maturité naissante, alors que ses propres iris étaient légèrement voilés. Elle ne devait pas avoir plus d'un siècle, un siècle et demi. En ce laps de temps, on avait le temps d'étudier un certain nombre de chose.

*Pourquoi ne me suis-je jamais intéressé au animaux contrairement à Carmen, si elle avait été là...*

Eléazar revit le visage de sa douce, elle lui manquait beaucoup. Mais il était venu dans cette ville, bien loin de leur demeure pour lui ramener un bijou. Et, le voilà en train de discuter avec une jeune femme dans la bijouterie où ils étaient tout deux entrés par effraction.

*Original comme rencontre !*

[ Humain ] Nombre de messages : 72 Age : 36 Date d'inscription : 27/04/2009

Trois jours s'étaient écoulés depuis qu'elle avait pris la route. Elle venait de passer quelques jours dans un hôtel miteux dans une ville dont elle avait déjà oublié le nom... et pour autant qu'elle veuille s'en souvenir, elle ne remettrait plus jamais les pieds dans cet endroit horribles. Qu'il s'agisse du gérant ou de sa femme, ils avaient réussi à lui foutre la peur de sa vie avec leurs histoires de monstres buveurs de sang... Ils lui avaient fourni tellement de détails étranges qu'elle avait décidé de déguerpir dès le lendemain, heureuse de quitter cette ville plongée sous les nuages gris, sans soleil et où la chaleur se laissait désirer.

Prendre de nouveau la route était un coup de tête de dernière minute. Son patron lui avait conseillé de partir, de quitter Las Vegas quelques jours voire quelques semaines - juste parce qu'elle avait faillit se faire tuer par des mecs en rentrant chez elle - il avait tellement insisté, que Keiko s'était décidée à prendre sa petite voiture, des vêtements de rechange, de quoi manger et les économies qu'elle avait mis de côté pour partir à l'aventure et découvrir quelques endroits de ce pays immense qu'elle ne connaissait pas plus que ce qu'on lui avait appris en classe.

Elle commençait à fatiguer, même si dormir à la belle étoile ne la gêné pas, Keiko aurait bien voulu pouvoir prendre une bonne douche et dormir dans un bon lit. Elle prit donc la décision de s'arrêter dans la prochaine ville quand elle aperçut un panneau indiquant qu'une ville nommée Forks ne se trouvait plus qu'à quelques miles. Elle pourrait surement y trouver un petit hôtel et faire un petit tour avant d'aller s'affaler dans un lit. La route dura encore quelques minutes, puis Keiko atteint la ville. Elle n'était pas grande mais restée assez imposante et les magasins n'étaient pas encore tous fermés, quand elle remarqua une bijouterie encore ouverte.

Il fallait d'abord qu'elle se change, elle s'y rendrait plus tard. Keiko poursuivit sa route et tomba nez à nez avec une petite enseigne d'hôtellerie. Garant la voiture, elle entra dans le hall de l'hôtel et s'inscrivit sur le registre avant que la jeune femme qui tenait l'hôtel ne lui tende sa clef - Chambre 12 au premier étage - Keiko la lui prit et alla déposer ses bagages dans sa chambre. Il s'agissait d'une pièce assez rustique, sans autres décorations que deux tableaux et une plante verte posait à côté d'un petit fauteuil sur lequel elle déposa ses deux sacs de voyage. Heureuse de voir que la chambre possédait une petite salle de bain, elle s'y dirigea directement et n'en sortie qu'une demi-heure plus tard vêtue d'une simple serviette.

Attrapant des vêtements propres et enfilant le tout, elle sortit de l'hôtel pour avancer à pied jusqu'à la bijouterie qu'elle avait croisée en arrivant. Mais qu'elle ne fut pas sa surprise quand elle découvrit que la boutique était fermée... Keiko allait faire demi-tour, les mains dans les poches quand un fracas attira son attention. Sa curiosité l'emportant sur sa raison, elle gagna la ruelle arrière où elle découvrit un jeune chat qui tentait de mettre bas, elle s'approcha de lui, pensant que le bruit avait été provoqué par ce jeune animal, mais tout à coup elle entendit des voix à l'intérieur de la boutique, elles semblaient provenir de l'arrière boutique. Sans savoir pourquoi, Keiko s'en approcha et y découvrit une porte légèrement forcée, quelque soit les personnes à l'intérieur l'une d'elle n'était pas entrée pour acheter un bijou.

Sans réagir à son geste, elle poussa la porte est tomba nez à nez avec un homme et une femme dont le tein était pâle alors que leur beauté n'avait d'égal que celle d'un couché de soleil. Keiko ne savait pas comment réagir face à eux... Pourquoi avait-elle poussé la porte, pourquoi sa curiosité l'emportait-elle sur sa raison ?

Il ne pouvait se tromper, il s'agissait bien des battements d'un coeur humain. Quelque soit la personne, elle approchait par ici et ne tarderait pas à découvrir qu'Eléazar avait forcé la porte - impossible de louper ce détail d'ailleurs - leur restait-il le temps de fuir. Non... Impossible de sortir par autre part sinon par l'entrée principale et se cacher était impossible. La seule chance qu'ils avaient était qu'elle fasse demi-tour...

*Pourquoi n'ai-je pas mangé avant de venir... !*

Il savait qu'il pourrait tenir et pourtant sa peur de blesser quelqu'un était en lui, implacable... Il observa sa compagne du moment, il venait à peine de la rencontrer et déjà il se confrontait à une humaine. Ses yeux semblaient indiquer qu'elle était humaine mais résisterait-elle. Eléazar n'avait pas oublié la difficulté qu'il y avait à faire face à un sang frais, à son odeur envoutante, la texture d'un cou offert. Il en avait tué des innocents, par plaisir ou pour le compte d'Aro peut importait, il en avait tué bien trop à son goût.

Sentait-elle quelque chose, avait-elle vu quelque chose ? Le don de cette jeune fille commençait à intriguer Eléazar tout comme celui d'Alice avait attiré l'avidité d'Aro quelques mois plutôt. Il n'eut pas le temps d'y réfléchir plus amplement, elle poussa la porte et se retrouva face aux deux vampires. Son arôme envahit la pièce en quelques secondes, inondant le lieu de senteurs exotiques. Il restait assez de force de son dernier 'dîner' pour résister à la senteur de la jeune femme.

Elle semblait déroutée et à la fois curieuse de découvrir ce qu'il se passait, prenant la parole le premier, Eléazar s'approcha de la jeune femme lentement, cherchant à lui montrer qu'elle pouvait avoir confiance en lui.

"Nous ne sommes pas des voleurs, rassurez-vous jeune fille, nous cherchions juste quelque chose"

Se rappelant que les bijoux jonchaient sur le sol, Eléazar poursuivit dans la seule optique de la mettre en confiance, même si en réalité le pouvoir de leur état pourrait bien suffire...

"Les bijoux sont tombés par accident, mon amie ne les avaient pas vu et les à bousculer quand elle m'a vu !"

Eléazar sentit une confiance s'instaurer, mais peut-être n'était-ce qu'une illusion. Il n'en savait rien...

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